Le président sortant ne fait pas campagne, refuse les débats TV, se trouve pris dans la gestion de la guerre en Ukraine. Il arrive néanmoins en tête du premier tour et se trouve réélu avec un nouveau barrage réalisé face à l'extrême-droite.
Malgré la lutte avec l'autre candidat d'extrême-droite, cette candidate, mettant en avant des thèmes de gauche (pouvoir d'achat) parvient au second tour de l'élection mais subit une nouvelle fois le "barrage républicain".
Longtemps bien placé dans les sondages et au coude-à-coude avec la candidate d'extrême-droite, ce candidat médiatique s'écroule dans la dernière partie de la campagne, plombé par sa radicalité.
Après avoir remporté les primaires de la droite, cette candidate réalise une campagne catastrophique et échoue au premier tour sous la barre des 5 %, devant ensuite rembourser la campagne qu'elle a financée en partie avec ses propres deniers.
Après avoir battu de peu Sandrine Rousseau dans une primaire interne, ce candidat réalise un score décevant malgré des thèmes porteurs qu'il n'a pas réussi à imposer dans la campagne présidentielle, pris dans les luttes internes de la gauche.
Après avoir été l'allié de la France insoumise en 2017, ce parti présente un candidat lors de cette élection. Auteur d'une campagne assez réussie, il pâtit du vote utile de la gauche, dépassant seulement 2 % des voix.
Ce candidat anti-système, proche des mouvements complotistes pendant la crise du COVID, ne parvient pas à rééditer son bon score de 2017 et termine avec un peu plus de 2 % des voix.