Sa particularité réside dans les boutons qui maintiennent les pointes. Appelé aussi col polo car les joueurs de polo le privilégient pour éviter que le vent ne relève les pointes sur leur visage. Sans cravate, sous une veste, il fait chic et décontracté.
Reconnaissable à son ouverture étroite et à sa patte qui relie les deux côtés. Impensable de le porter sans cravate : celle-ci devra être fine pour s'accorder à ce col très élégant. À éviter sur les cous très larges qu'il aurait tendance à boudiner.
Style de col réservé aux grandes cérémonies, ou aux cocktails. Porté avec un nœud papillon ou une lavallière, il demande des boutons de manchettes et un smoking, et rendra particulièrement élégant un homme à cou fin et visage allongé.
Col féminin, plat et arrondi, ainsi nommé parce que c'est celui que porte l'héroïne de Colette sur la couverture d'un roman. Il est associé à l'image rétro de l'enfant sage, à l'actrice Audrey Hepburn ou à la chanteuse Jain.
Col dont les extrémités sont arrondies. Il donne un air un peu dandy, original et raffiné. Il se distingue du col Claudine en ce qu'il comporte un pied de col (la bande de tissu qui fait le tour du cou et sur laquelle est fixé le rabat).
Col classique, basique, le plus courant. Les pointes ont une largeur de 6 à 7 centimètres, et l'ouverture du col est assez réduite. Il convient à la plupart des hommes, plus particulièrement aux visages ronds à petit cou, que sa forme permet d'allonger.
Le plus commun après le col français, dont il se distingue par son ouverture, beaucoup plus large. Moins strict que le français, il supporte un nœud de cravate plus large. Il va bien aux visages allongés. À éviter pour ceux qui ont un fort tour de cou.
Ce col montant, droit et court, tient son nom d'un ancien dirigeant chinois qui le portait régulièrement. Il se distingue du col officier en ce qu'il n'a pas de bouton pour le fermer.
Col descendant en triangle devant et formant derrière un large pan carré. Celui-ci servait à protéger la chemise de la graisse dont les matelots enduisaient leurs cheveux coiffés en catogan, pour qu'ils ne se prennent pas dans les cordages.
Sa forme est celle des cols de vestes de nombreux uniformes militaires, d'où son nom : c'est un simple pied de col sans rabat, une bande de tissu dont les extrémités se relient par un bouton unique ; cette forme de col interdit le port d'une cravate.
Col détachable, destiné au clergé catholique ; blanc et en plastique, il se glisse entre le cou et la collerette de la soutane, et s'attache à l'arrière du cou : seuls sont visibles le bord supérieur et un petit carré blanc à la base de la gorge.
Col de chemise amovible, très utilisé autrefois : il se fixait à la chemise par un bouton situé derrière le cou. On pouvait donc adapter à la même chemise des cols de différents styles.