Caractérisé par la prédominance de scènes aux puissants contrastes de lumière et d'ombre et du du clair-obscur, il se constitue autour du style d'un célèbre peintre italien.
Genre pictural basé sur la représentation perspective de paysages urbains. Il prospère aux Pays-Bas et en Italie et principalement à Venise au XVIIIe siècle.
Courant apparaissant dans les années 1810, comprenant à ses débuts outre le genre troubadour, des peintres floraux, proches des dessinateurs de motifs pour la fabrication de pièces de soie et des peintres de paysages.
Courant pictural qui prend forme à partir des années 1820 qui est lié au romantisme français. Ses représentants travaillent souvent en plein air dans la forêt de Fontainebleau.
Mouvement artistique émergeant dans la deuxième partie du XIXe siècle, ayant pour objectif de représenter la nature telle qu'elle est, sans aucune exagération ni scénographie.
Les thèmes les plus récurrents des œuvres de ce mouvement sont un fort pessimisme, une attirance pour le rêve et l'ésotérisme, et une atmosphère générale de mélancolie.
Mouvement du début du XXe siècle qui s'appuie sur l'esthétique des lignes courbes. Il est né en réaction contre les dérives de l'industrialisation et la reproduction des anciens styles.
Style pictural de peintres généralement autodidactes qui ne respectent pas les règles de la perspective sur les dimensions, l'intensité de la couleur et la précision du dessin.
En 1888, en réaction à l'impressionnisme, ses représentants cherchent des voies plus spirituelles au contact de philosophies et de doctrines nouvelles teintées d'Orient.
Mouvement issu d'un manifeste rédigé par l'écrivain italien Marinetti. Ses représentants représentent le mouvement, affirmé comme étant un dynamisme universel, et le conflit des corps dans l'espace.
Mouvement artistique italien fondé en 1917 qui cherche à représenter ce qu'il y a au-delà de l'apparence physique de la réalité, au-delà de l'expérience des sens.