Suites orchestrales baroques, œuvres d'un compositeur allemand naturalisé anglais, qui les interpréta avec 50 musiciens dans une barque, sur la Tamise, en 1717, pour accompagner le roi George Ier et sa cour lors d'une excursion.
Une gravure montre l'auteur de cette œuvre orchestrale "à programme" composant au bord de l'eau ; il en a intitulé le 2e mouvement "Scène au bord du ruisseau" : ruisseau tranquille qui devient un torrent bruyant quand passe l'orage.
Histoire d'un poisson joyeux frétillant dans l'eau claire d'un ruisseau, avant de tomber dans le piège du pêcheur. Une musique qui passe d'un mode majeur enjoué à un mode mineur plus sombre ; un "lied", incorporé ensuite à un quintette avec piano.
Le compositeur de cette œuvre, appelé à assurer la direction de l'orchestre de Düsseldorf, est ravi de s'installer avec Clara sur les rives d'un fleuve pour lequel il éprouve une véritable attirance, et qui apaisera pour un temps ses troubles nerveux.
Prologue d'une tétralogie : au fond du plus romantique des fleuves, Alberich, un nain lubrique dédaigné par trois ondines qu'il courtisait, leur dérobe le métal précieux qu'elles gardaient, pour en forger l'anneau auquel est attaché un pouvoir fabuleux.
Un des six poèmes symphoniques consacrés aux paysages et aux légendes de la Bohême, patrie du compositeur : il porte le nom de la rivière qui traverse Prague, devenu un symbole patriotique. Il y est joué tous les 12 mai, jour de la mort du compositeur.
Œuvre d'un compositeur français, principal représentant du courant impressionniste, cette pièce pour piano est inspirée des sons musicaux que font entendre les jets d'eau, les cascades et les ruisseaux.
Cantate qui met en musique deux poèmes de René Char : le second est un hommage à la Sorgue, rivière près de laquelle le poète passa sa vie et qui eut une grande influence sur le développement de son imagination.