Un Zéphir souffle de ses joues gonflées un vent léger, pour propulser vers le rivage le frêle esquif sur lequel se dresse une femme plus qu'humaine qui semble jaillir des flots.
Cet homme qui se noie est le seul élément justifiant le titre du tableau, où l'œil est surtout attiré par le paysan qui laboure son champ, le berger qui garde son troupeau, le pêcheur qui tend sa ligne.
Une naine et un enfant italien figurent parmi les personnes rassemblées autour de l'infante Marguerite-Thèrèse, dans la grande salle du palais du roi Philippe IV.
Personnage hilare (autoportrait de l'artiste ?), témoin de la transaction vénale qui s'opère sous ses yeux dans un lupanar, entre une prostituée et son client.
Ce chat noir, sans doute symbole de lubricité, figure au pied du lit sur lequel est allongée une prostituée de luxe, dont la nudité et le regard fixé sur le spectateur provoquèrent un scandale retentissant.
Portrait d'Aline Charigot, future épouse du peintre, au premier plan d'un tableau qui représente un groupe de quatorze amis rassemblés autour d'une table, sur la terrasse de la maison Fournaise à Chatou.
