Dieu maya de la Mort, il est le roi de Metnal, le neuvième niveau du monde souterrain (Xibalba). Il est souvent dépeint comme un squelette ou comme un cadavre orné de cloches, avec parfois la tête d'un hibou.
Dieu de la pluie des Mayas et des Toltèques, il frappe les nuages avec sa hache de foudre, déclenchant le tonnerre et la pluie pour le grand bienfait des cultures.
"Celle qui a une jupe de serpents" est la mère des dieux aztèques et la déesse de la Terre. Elle porte un collier de mains, de cœurs et de crânes humains, et ses pieds et mains sont pourvus de griffes.
Ce dieu tribal aztèque de la Guerre et du Soleil, sorti en armes du ventre de sa mère Coatlicue, possède sur le corps des bandes colorées, des plumes de colibri sur la jambe gauche et un propulseur en forme de serpent nommé atlatl.
Incarnation du soleil et protecteur du Tahuantinsuyu, l'empire Inca, il est représenté par la statue en or d'un jeune garçon ou par un disque d'or entouré de rayons et décoré d’un visage humain, figurant sur les drapeaux de l'Argentine et de l'Uruguay,
Dieu principal de la mythologie maya, ce "Serpent à plumes", qui a donné son nom à une pyramide de Chichen Itza, est le dieu des quatre éléments, de la résurrection et de la réincarnation. Une légende prétend qu'il reviendra sur terre à la fin du monde.
Dieu aztèque de la mort, il a l'aspect d'un squelette à la gueule béante, couvert de taches jaunes et rouges représentant des restes de chair. Il règne sur le Mictlan, lieu le plus bas de l'inframonde.
Déesse-terre du panthéon inca, épouse du dieu-soleil Inti, elle représente la fertilité et son culte, sous forme d'offrandes, est encore très vivace chez les peuples Aymara et Quechua.
Le "Serpent à plumes" est à l'origine des principaux mythes aztèques : la création de la Terre et la création des hommes, auxquels il assura ensuite leur subsistance, en leur faisant don du maïs et du pulque.
Ce dieu aztèque est le frère et le principal adversaire de Quetzalcoatl. Son attribut est un miroir d'obsidienne qui lui permet de lire l'avenir et le cœur des hommes, d'où l'origine de son nom signifiant "Miroir fumant".
Ce capricieux dieu aztèque de l'eau, auquel sont associés les quatre points cardinaux, est représenté avec un masque pourvu de long crocs et de grands yeux ronds entourés de cercles figurant des serpents.
Dieu du soleil, représenté au centre du calendrier aztèque, il représente l'ère cosmique actuelle, la cinquième, assurant ainsi la relève du quatrième soleil expulsé du ciel.
Principal dieu des Incas, il est parfois représenté comme un vieil homme portant une barbe, une longue robe et transportant un sac. Les conquistadors profitèrent à leur arrivée de la confusion avec ce dieu qui était censé revenir.
"Notre seigneur l’écorché", est le dieu aztèque du renouveau de la nature et de la pluie nocturne bienfaisante. Il s'écorche lui-même pour nourrir l'humanité, symbolisant ainsi le grain de maïs perdant son enveloppe avant de germer.