Cet astronome dut défendre son honneur à Rostock contre son cousin. Ce dernier s'était moqué d'une interprétation astrologique annonçant à tort la mort de Soliman le Magnifique. Il eut l'arête du nez tranchée et resta défiguré à vie.
Cet aventurier vénitien se battit au pistolet contre le général polonais Branicki en raison d'insultes échangées à propos d'une ballerine italienne. Blessés tous les deux, leur aventure fit la une des gazettes européennes.
Ce militaire fut provoqué par le prédicateur orangiste Finch-Hatton qui l'accusa d'avoir comploté pour la destruction de la constitution protestante. Le duel tourna court puisqu'il rata volontairement son objectif et son adversaire tira en l'air.
Cet homme de lettres auteur notamment du roman "Eugène Onéguine" affronta son beau-frère suite à une campagne de lettres anonymes. Touché au ventre, il mourut deux jours plus tard, son rival s'en sortant avec une blessure au bras.
Cet artiste eut à combattre un fils d'officier de l'Empire se sentant offensé par son œuvre caricaturale "La Médaille de Waterloo". Seulement blessé, il eut cependant à subir la vindicte de ses compatriotes.
Cette figure légendaire de l'Ouest tua au pistolet un cow-boy du Missouri lors d'un duel sans arbitres ni règles, pour une dette de jeu et une rivalité amoureuse. Cet événement inspira de nombreux westerns comme "Le Train sifflera trois fois".
Président de l'Argentine à deux reprises, il provoqua en duel au sabre son rival politique Lisandro de la Torre. Il en ressortit indemne mais son adversaire touché à la joue dut porter à vie une barbe dissimulant sa cicatrice.
Né Papadiamantopoulos, ce poète symboliste d'expression française auteur du recueil "Stances" dut combattre à l'épée contre l'écrivain Rodolphe Darzens. Accusé de traîtrise après avoir touché son adversaire, il eut à subir une campagne antisémite.
Ce chorégraphe combattit à l'épée le marquis de Cuevas qui l'avait giflé et lui interdisait de modifier sa chorégraphie. Se laissant toucher à l'avant-bras à la troisième reprise, il pactisa avec son rival. Jean-Marie Le Pen fut son témoin.
Cet homme politique et résistant plusieurs fois ministre et maire de Marseille remporta le dernier duel pour l'honneur de "l'histoire de France" en 1967 contre le député Ribière. Après avoir blessé son adversaire, il consentit à cesser le combat.