Réserviste, il est rappelé en 1914. Commandant la 6e Armée, il contribue à la victoire de la Marne en gagnant la bataille de l'Ourcq. En 1915, il est blessé dans une tranchée par un sniper et quasi aveugle, il quitte le service actif. Maréchal de France.
Ce noble breton est rappelé de sa retraite pour diriger la 4e Armée avec laquelle il contribue à la victoire de la Marne en remportant la bataille de Vitry. En 1916, il commande à Verdun au début de l'offensive allemande avant d'être remplacé par Pétain.
Chef de l'armée en 1911, il sera remplacé par Joffre. En 1914, il dirige la 1re Armée en Lorraine. Il signalera en vain les faiblesses de la défense de Verdun. Géographe renommé, il fut l'auteur de manuels scolaires et collabora avec Jules Verne.
En 1914, il commande la IIe Armée en Lorraine où il remporte les batailles de la trouée de Charmes et du Grand-Couronné qui évitèrent l'encerclement par l'Est de l'armée française. Il était royaliste et catholique ce qui lui coûta le bâton de maréchal.
Général de brigade retraité, il est rappelé en 1914. Gravissant les échelons, il commande la 6e Armée lors de la bataille de la Somme puis après le désastre de Caporetto les forces françaises en Italie. Il est promu Maréchal de France en 1921.
Opposé en tout à Joffre et French, il est "limogé" dès septembre 1914. Sa mémoire fut réhabilitée car sa victoire lors de la bataille de Guise empêcha le bon déroulement du plan Schlieffen et contribua plus que les fameux taxis à la victoire de la Marne.
En 1915, il est écarté à cause d'échecs sanglants. Grâce à ses amitiés politiques il dirige les armées alliées d'Orient qui rentrent en Serbie à la victoire de Monastir. Il renverse le germanophile roi de Grèce mais est remplacé à l'arrivée de Clemenceau.
En juin 1918, il est nommé commandant des armées alliées d'Orient. Il remporte la bataille de Dobro Polje qui aboutira à la capitulation de la Bulgarie. Puis il emmène ses troupes se battre en Ukraine contre les bolcheviks. Maréchal de France.