Cette chaise en forme de pyramide sur laquelle reposait le supplicié fut utilisée notamment en Europe, sous l'Inquisition, pour extorquer des aveux. Son nom fait référence à l'un des apôtres de Jésus.
Inscrit dans le système judiciaire français, ce système fut utilisé jusqu'en 1780 pour soutirer des aveux. Conçu pour broyer les jambes qui étaient fortement serrées entre des planches, il provoquait l'éclatement des os.
Ce fouet est composé d'un manche de bois et de cordes ou lanières de cuir dont l'extrémité en nœud est parfois dotée d'une griffe en métal. Il fut utilisé par les pirates et dans l'armée britannique jusqu'à son abolition en 1870.
Cet appareil constitue une sorte d'échelle sur laquelle est attachée la victime, les pieds étant reliés à une roue par une corde. Son usage correspond au supplice de l'écartèlement.
Largement utilisée par l'Inquisition, cette méthode consiste à suspendre par les bras la victime et à la faire chuter brusquement. Il s'ensuit alors une dislocation des épaules accompagnée d'une intense douleur.
Cette technique d'origine russe consiste à suspendre le supplicié poings liés à une potence tout en lui liant les pieds à une poutre. Le but final est la dislocation des membres. Symbole de tyrannie, il est assimilé au lynchage aux Etats-Unis.
Ce procédé consistait à empaler le supplicié sur un pieu au niveau du sternum ou de l'anus jusqu'à ce que mort s'ensuive. Une variante extrême-orientale fut appelée "chaise de bambou".
Cette sorte de petite boule était destinée grâce à un système de ressorts et vis à s'ouvrir et s'élargir, son arrêt nécessitant l'emploi d'une clé. Elle était placée dans la bouche des victimes.
Composé de trois barres de bois, cet outil de l'époque romaine permettait d'attacher un individu afin de le torturer. Ce terme serait étymologiquement à l'origine du mot "travail".
Tsurushi (12 / 13)
Nom
Tsurushi
Description
Dite "pendaison inversée", cette technique japonaise employée au XVIIe siècle faisait suspendre le torturé par les pieds avec une corde, le reste du corps étant descendu dans un trou. Elle avait pour but de contraindre les chrétiens à abjurer leur foi.
Cette forme de sarcophage en fer ou en bois est garnie en plusieurs endroits de longues pointes métalliques qui transpercent la victime lors de sa fermeture. Elle fut également appelée "vierge de Nuremberg".