Dans ce tableau, l’artiste peint sa famille. Une petite fille tient une poupée figurant un saint protégeant des maladies, tandis que son frère a une canne de golf d’intérieur (le kolfe).
Ce peintre, dans un siècle où l’on s’est de plus en plus intéressé à l’éducation des enfants, nous montre un jeune garçon absorbé dans la contemplation de son jeu, mi-jeu d’adresse, mi-jeu de hasard.
Une scène de genre assez rare dans l’œuvre d’un peintre rococo. On y voit une famille bourgeoise buvant du chocolat : une petite fille est assise avec ses jouets, une poupée et un cheval de bois.
L’artiste peint ici le fils de sa compagne, Suzanne Leehoff, adolescent. Le motif reprend un thème traité depuis la Renaissance, évoquant la brièveté de la vie.
Le peintre impressionniste peint ici son fils aîné dans le jardin de sa maison d’Argenteuil, crânement juché sur un jouet luxueux, apanage des classes favorisées.
Ce maître de l’Ecole de Pont-Aven exécute là l’une des deux versions de ce motif, à propos duquel il écrira à Van Gogh : "c’est un tableau sans exécution, une lutte bretonne par un sauvage du Pérou".
Ce peintre suisse, proche des nabis, connu pour ses illustrations et ses gravures, peint ici une scène d’extérieur, en plongée. Le tableau y privilégie les jeux d’ombre et de lumière.
Ce tableau dont Picasso s’est inspiré pour Maya à la poupée, montre une fillette de face, dans une perspective simplifiée. Non dénué d’étrangeté, il semble mettre l’accent sur la solitude de l’enfant.
Ce nabi, influencé par l’Ecole de Pont-Aven, peint ici deux enfants sages, jouant à se battre. Les contrastes de couleurs et les à-plat sont caractéristiques de son art.