En tant que président du Sénat, il est président de la République par intérim suite à la démission du général de Gaulle. Battu au second tour avec 41,79 % des suffrages exprimés.
Sa campagne, novatrice et brillante malgré son faible score, contrasta avec celle plus terne de son concurrent de la SFIO, ce qui précipita la fin
de ce parti.