S'il termine quatrième du premier tour comme en 2012, sa campagne dynamique et moderne lui permet de réaliser le meilleur score à gauche. Sur son élan, il réussit son "parachutage" aux législatives à Marseille.
Il remporte la primaire de la droite et du centre. Mais sa campagne est perturbée par une série d'affaires aboutissant à sa mise en examen. Se maintenant quand même, sa défaite au premier tour entraîne la débâcle de son parti aux législatives.
Homme politique atypique, ce Béarnais, ancien proche de François Bayrou, quitte le Modem pour se lancer dans la présidentielle. Chantre de la ruralité et de l'agriculture, il réalise le meilleur score des "petits candidats".
Candidat surprise, cet ancien haut fonctionnaire sort de l'ombre médiatique pour faire connaitre ses idées souverainistes. Malgré des militants très dynamiques, notamment sur Internet, il réalise un faible score.
Deuxième candidature pour ce gaulliste souverainiste qui manque de peu la barre des 5%. Lors de l’entre-deux-tours, il conclut une alliance avec la candidate du FN dont il aurait été le Premier ministre en cas de victoire.
Deuxième tentative pour ce trotskiste qui réunit in extremis les fameuses 500 signatures. Lors d'un débat, il crève l'écran par son ton offensif et demande plus tard le désarmement de la police. Il reproduit quasiment son score de 2012.
Ancien ministre de François Hollande, il remporte la primaire de la gauche et les premiers sondages sont bons. Puis sa campagne dévisse complètement aboutissant à un score très bas annonçant la catastrophe de son parti aux législatives.
Après un début prometteur, sa campagne est marquée par des affaires judiciaires. Malgré un score décevant, elle se qualifie pour le second tour. Ratant son débat, elle est battue largement lors du second tour.
Continuant son activité professionnelle en même temps que sa campagne, elle se définit comme "la seule candidate communiste". Elle améliore légèrement son score de 2012 mais toujours loin de ceux d'Arlette Laguiller.
Jamais candidat à une quelconque élection auparavant, il est élu au second tour avec 66,10 % des suffrages exprimés. Il est à ce jour le plus jeune président de la République française de l'histoire.