En héraldique, on l'appelle croix archiépiscopale ou croix patriarcale ; elle figure sur les blasons des archevêques, et dans l'iconographie ancienne, pour signaler cette fonction. Elle se compose d'une barre verticale et deux barres horizontales.
Aussi nommée croix de saint Jean, elle est utilisée aujourd'hui dans plusieurs acceptions pour désigner différents symboles. C'est une croix à quatre branches mais à huit pointes.
Appelée également lauburu, formé de quatre « virgules », c'est un symbole du pays basque, qui indiquerait au départ le mouvement du temps (4 saisons), ou les 4 éléments – l'eau, la terre, le feu et l'air.
C'est une croix qui a la forme d'un X. Elle tient son nom d'un Saint qui aurait été crucifié sur une croix de cette forme. Elle peut aussi être appelée croix décussée ou sautoir et est très utilisée comme symbole d’avertissement.
Symbole formé de trois spirales entrecroisées ou tout autre symbole avec trois protubérances évoquant une symétrie de groupe cyclique. Elle est considérée comme une caractéristique importante de l'art celtique.
Egalement nommée croix nimbée, elle symbolise le christianisme celtique. C'est une croix par-dessus laquelle vient se placer un cercle. Elle est aussi appelée croix eucharistique dans les milieux catholiques, le cercle symbolisant la Sainte Hostie.
C'est une croix à quatre branches de même longueur. Cette croix de Provence a été nommée croix de Toulouse lorsque Guillaume III de Toulouse a hérité du marquisat de Provence à la suite de son mariage avec une fille de Provence.
Cette croix est une forme très simple : les deux branches rectangulaires ont la même longueur et se croisent en leur milieu. Elle constitue le plan de nombreuses églises byzantines.