Maire de Blois de 1989 à 2000, ce proche de François Mitterrand fait doubler le budget de la culture. Il met en place la fête de la musique en France en 1982.
Maire de Fréjus pendant 20 ans, il fut aussi ministre de la Défense. Il dut faire face à un budget restreint par la rigueur gouvernementale et annonça la privatisation de TF1.
Cet ancien membre du RPR, qui fut aussi garde des Sceaux, essaya de lutter contre le franglais et le "photocopillage". Il devint Défenseur des droits en 2014.
Ancienne maire de Strasbourg, elle fut très critiquée au sujet de ses projets de réforme concernant les chaînes de télévision et quitta le ministère à l'occasion d'un remaniement.
Cette sénatrice des Yvelines créa le label "Musée de France" en 2002.
Années du mandat
2000-2002
Jean-Jacques Aillagon (2002-2004) (7 / 18)
Ministre
Jean-Jacques Aillagon
Particularités
Il ne vit pas venir le mouvement des intermittents et l'annulation sans précédent des festivals à l'été 2003. Ensuite, il présida TV5 Monde puis le domaine national de Versailles.
Il défend le projet de loi DADVSI pour laquelle on lui reproche la forte pénalisation du piratage, l'abandon de la copie privée et l'allégeance aux maisons de disques.
Peu appréciée par le président Sarkozy, elle dut rivaliser avec l’influent conseiller culturel de l’Élysée, Georges-Marc Benamou. Elle sortit affaiblie du débat parlementaire sur le projet de loi HADOPI.
La nomination de cette personnalité du petit écran fut une surprise. Il relança le projet de construction du Mucem à Marseille, la rénovation du musée Picasso et l'aile du Louvre dédiée aux arts de l'Islam.
Cette ministre dut gérer l'arrivée de Netflix en France. Il s'agit de la première personnalité politique d'origine asiatique à être membre d'un gouvernement français.
Cette conseillère du président François Hollande fut chargée de la culture et de la communication de 2014 à 2016 avant sa nomination au ministère de la Culture.
Co-directrice de la maison d'édition Actes Sud, fondée par son père, elle est nommée en 2017 ministre de la Culture du gouvernement Édouard Philippe. Engluée dans des affaires liées à sa société d'édition, elle est remplacée en octobre 2018.
Cet ancien membre de l'UMP a rejoint les rangs d'Emmanuel Macron. En 2019, il annonce le lancement d'une nouvelle autorité administrative indépendante, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM).
Ministre pour la 4e fois alors qu'elle avait affirmé avoir arrêté la politique, cette pharmacienne de formation a confirmé la suppression de la chaîne France Ô.