Conçue par l'architecte français Paul Andreu, cette structure couramment appelée opéra de Pékin et surnommée l’Œuf consiste en un dôme de titane et de verre en forme d’ellipse, évoquant le motif du yin et du yang, entouré d’un lac artificiel.
Ce Palais ancien devenu musée, édifié sous les Ming au XVe siècle, était à lui seul une véritable ville dans l'ancienne Cité impériale. Puyi, le "dernier empereur", y fut assigné à résidence après son abdication en 1912.
L'avant-poste de Badaling au nord-ouest de Pékin, ouvert aux touristes en 1957, témoigne de l'importance stratégique de la plus importante structure architecturale jamais construite par l’Homme, longue de 8 851 km.
Cet ensemble situé dans la vieille ville tartare, constitué de passages étroits et de ruelles a été construit sous la dynastie des Yuan il y a plus de 700 ans. On y trouve les dernières maisons à cour carrées, les siheyuan.
Reconstruit sur ordre de l'impératrice Cixi non loin de l'ancien palais homonyme, cet ensemble de presque 3 km² comprend la colline de la Longévité et le lac de Kunming, où l'on peut admirer le "bateau de marbre".
Ce jardin impérial plus que millénaire, implanté autour d'un lac dont le nom signifie « mer du nord », comprend de nombreux temples et palais, parmi lesquels son emblème, une stupa blanche bâtie sur une île en son centre.
Cette « place de la porte de la Paix céleste », la quatrième au monde par sa superficie, commandait l’entrée sud de la cité impériale. Les manifestations durement réprimées qui y ont eu lieu en 1989 sont restées dans les mémoires.
Plus célèbre artère commerçante de la capitale chinoise, dont une grande partie est réservée aux piétons, cette rue tire son nom des demeures d'aristocrates qui y ont été bâties peu après la découverte d'un puits d'eau douce.
Ce complexe sportif d'une capacité de 91 000 places, surnommé le Nid d'oiseau, a été construit pour accueillir les Jeux olympiques d'été de 2008. Usain Bolt y battit les records du monde du 100 et du 200 m.
Ce temple est réputé pour sa pagode chinoise de treize étages, haute de 57,8 m, édifiée sous la dynastie Liao au début du XIIe siècle, dont le clocher original en forme de perle a été restauré suite à un séisme survenu en 1976.
Temple du bouddhisme tibétain fondé en 1694 sous la Dynastie Qing, ce bâtiment abrite notamment une statue de 12 m de haut représentant un bodhisattva debout. Les cérémonies religieuses tibétaines y sont toujours pratiquées.
La disposition de cet ensemble de temples du XVe siècle, à une époque où l'empereur était considéré comme le "fils du Ciel", symbolisait la croyance chinoise que la Terre est carrée et le Ciel rond.
Cette tour haute de 33 m, située sur l'extrémité nord de l'axe central de la vieille ville tartare, abrite la plus grande et lourde cloche de Chine (7 mètres pour 63 tonnes), qui pouvait être entendue à une distance de 20 km.