Temple colossal, de style dorique (64,2 m de long, 24,6 m de large), érigé entre 470 et 456 av. J.C. Le fronton Est représentait, selon Pausanias, la préparation de la course de chars entre Pélops et Oenomaos.
Monument édifié au IVe siècle av. J.-C. ou au début du IIIe siècle av. J.-C. pour accueillir les Asclépiéia, concours en l'honneur du dieu médecin Asclépios. Il a servi de modèle à de nombreux autres théâtres grecs.
Cette forteresse naturelle domine et défend un isthme. Les éléments de mobilier les plus anciens sont datés de -1000 environ, tandis que les premières fortifications identifiables remontent au VIIe siècle av. J.-C.
Palais organisé autour d'une cour rectangulaire orientée Nord-Sud. Doté de plusieurs entrées, au Nord et au Sud, il n'est pas fortifié. Il n'y a pas de claire distinction entre le palais et le tissu urbain, ce qui relève d'un système dédalique.
La construction de ce temple a commencé en -449, mais elle ne fut pas achevée avant -415, probablement parce que l'accent avait été mis au même moment sur la construction des monuments de l'Acropole.
Les ruines de ce temple, bâti au milieu du Ve siècle av. J.-C., surplombent la mer d'une hauteur de près de 60 mètres. Le poète anglais Lord Byron grava son nom sur l’une de ses colonnes.
Une des principales places fortes de la civilisation mycénienne, ce site fut, avec Mycènes et Tirynthe, occupé très tôt pour son emplacement géographique et sa position dans les plaines fertiles d'Argolide.
Dernier monument érigé sur l’Acropole, renommé pour son architecture à la fois élégante et inhabituelle, il présente au sud, le fameux portique des Caryatides où six statues de jeunes filles drapées servent de colonnes supportant l'entablement.