Cette défense a reçu son nom en 1834 en l'honneur de plusieurs joueurs français qui l'ont utilisée dans un match par correspondance entre les villes de Londres et de Paris. Elle est très jouée à tous les niveaux.
Défense qui porte le nom des deux joueurs qui l'ont popularisée, Elle est considérée comme une des plus solides contre la poussée du pion blanc en e4. Au très haut niveau, elle débouche souvent sur une partie nulle.
Appelée aussi défense Petrov, cette ouverture, après le deuxième trait, donne la possibilité à chacun des camps, de pouvoir prendre le pion de l'adversaire, mais aux dépens de la défense de leur propre pion.
Défense tirant son nom du théoricien hollandais Elias Stein qui l'a analysée. Les noirs répliquent à l'ouverture des blancs en découvrant leur roi, Elle est très peu utilisée car elle comporte une prise de risque très importante.
Tirant son nom d'une région de l'Europe du nord, cette défense voit les noirs déclencher rapidement les hostilités en poussant le pion dame de deux cases pour attaquer le pion blanc. Elle est peu utilisée.
Défense qui tire son nom d'une île italienne. Elle est très utilisée car elle permet un jeu très dynamique et offre des possibilités de victoire aux deux camps.
Une des ouvertures les plus jouées. Elle tire son nom du fait que les blancs proposent le sacrifice d'un pion au deuxième coup après avoir ouvert par le pion de la dame.
Ouverture peu usitée car elle est risquée pour les blancs, Elle débouche sur des parties dynamiques et tire son nom du fait que les blancs proposent le sacrifice d'un pion au deuxième coup, après avoir ouvert par le pion du roi.
Cette ouverture peu banale tire son nom du champion Howard Staunton. Commençant par le déplacement du pion "c" de deux cases, elle permet indirectement de contrôler le centre et porte le jeu sur l'aile dame. Très jouée au plus haut niveau.
Ouverture tirant son nom du fait que les seules pièces du jeu pouvant "sauter" par-dessus les autres sont sorties au deuxième et troisième coup. Peu jouée au haut niveau car les blancs n'en tirent guère avantage.
Ainsi appelée car elle a été popularisée par le moine Ruy López de Segura, c'est une des ouvertures les plus jouées. Elle se caractérise au troisième coup par le développement du fou de f1 en b5, menaçant ainsi le cavalier noir placé en c6.
Tirant son nom du fait qu'elle a été popularisée par le champion Pedro Damiano, C'est une des ouvertures les plus jouées. Elle se caractérise, au troisième coup par le placement du fou blanc en c4 prenant ainsi le contrôle de la diagonale a2-f7,