Faisant partie du "bando", le "lethwei" est le plus sauvage des sports de combat. Coups de coude, de genou et de tête sont autorisés. Un combat n'a que deux issues : victoire par KO ou match nul. Un boxeur mis KO peut même continuer après du repos.
Art martial brésilien longtemps clandestin qui puise ses racines en Afrique et pratiqué à l'origine par les esclaves contre les colons. Aujourd'hui, il combine danse, acrobaties et musique et est considéré plutôt comme un jeu.
Sport de combat héritier des duels, olympique depuis 1896, il utilise trois types d'armes : le fleuret, l'épée et le sabre. Dans les championnats, le français est la langue officielle. La plus ancienne trace de compétition remonte à l'Égypte antique.
Combattants professionnels de la Rome antique qui s'affrontaient dans une arène en duels pouvant aller jusqu'à la mort. Certains étaient immensément populaires notamment auprès des femmes. Spartacus est le plus connu d'entre eux.
Plus connue sous le nom de "lutte bretonne", c'est une lutte traditionnelle pratiquée en plein air où il faut faire tomber l'adversaire sur les deux épaules. Inscrite à l'inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.
Héritier des naumachies romaines, c'est un sport pratiqué surtout en France depuis au moins le XIIe siècle consistant à envoyer son adversaire à l'eau tout en maintenant son propre équilibre. Chaque région a ses propres méthodes et ses propres règles.
Art martial indien, son nom signifie "Le lieu des exercices" en malayalam. Un "guru" peut être expert en combats, en danse, en médecine ou en massage. Des écrits du IIe siècle av. J.-C. en font peut-être le plus vieil art martial contemporain.
Nom générique donné aux plusieurs centaines de styles de combat qui se sont développées au cours des siècles en Chine. Il est souvent associé au monastère Shaolin et ses pratiquants les plus connus sont Bruce Lee, Jackie Chan et Jet Li.
Sport de combat au corps à corps pratiqué dès l'Antiquité en Grèce, il est aujourd'hui sport olympique dans ses versions "gréco-romaine" et "libre". Le catch, sa version professionnelle est un divertissement très populaire.
Sport traditionnel africain, c'est une lutte avec frappe. Il faut faire chuter son adversaire lors d'un corps à corps ou sur un coup de poing. Rencontrant un grand succès et devenu professionnel, il commence à y apparaître des combattants non-africains.
Plus connu sous le nom de "boxe thaïlandaise", c'est le sport national du pays. Il s'est développé mondialement quand les champions locaux battirent des spécialistes d'autres arts martiaux. Le combat est précédé d'une danse rituelle.
Sport de combat des Jeux olympiques antiques. Pratiqué nu, parfois mortel, c'était une combinaison de lutte et de boxe où tous les coups étaient permis sauf mettre les doigts dans les yeux ou mordre. Le plus fameux champion fut Milon de Crotone.
Art martial indonésien dont le nom composé signifie "aptitude à combattre avec des mouvements variés et appropriés" et qui résulte de la fusion de pratiques originaires de Sumatra, Java et Bali.
Sport de combat des Jeux olympiques antiques, c'est l'ancêtre de la boxe anglaise. Les poings protégés par des courroies de cuir, il n'y avait pas de catégorie de poids ni de limitation de temps. Les combats, très violents, s'achevaient par KO ou abandon.
Art martial interne chinois, selon des recherches récentes il existerait depuis le XVIIe siècle. Souvent réduit à une gymnastique collective en plein air, il compte maints styles dont certains avec frappe, son nom signifiant "Boxe du faîte suprême".
Dans l'Occident médiéval, ensemble d'épreuves de combat où des chevaliers joutaient pour leur belle, pour de l'argent, pour l'honneur ou pour s'entraîner. Condamné par l'Église, il fut interdit en France après la mort accidentelle du roi Henri II en 1559.