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Statuette très ancienne. Le personnage, vêtu à la manière des empereurs romains, porte une couronne, tient dans sa main gauche l'orbe (globe surmonté d'une croix), et devait avoir dans la droite un sceptre ou une épée, insignes du pouvoir impérial.
La statue du "Père du peuple" domine la porte d'entrée du château de la Loire où il naquit et dont il fit sa résidence principale. Son cheval "marche l'amble" : il lève en même temps ses deux jambes du même côté.
Sur le pont le plus ancien de Paris, dominant le square du Vert Galant (qui lui doit son nom), ce roi très populaire est représenté en armure, la tête couronnée de laurier et tenant dans sa main droite le sceptre à fleurs de lys.
Cette statue en bronze représente le Roi-Soleil habillé à la manière d'un empereur romain, sur un cheval cabré. L'attitude du cheval et du cavalier rappelle le fameux "Cavalier de bronze" représentant le tsar Pierre le Grand à Saint-Pétersbourg.
Dans sa ville natale se dresse la statue du septième duc de Normandie qui devint roi d'Angleterre. Il brandit le gonfanon (la bannière de guerre) qui lui fut donné par le pape Alexandre III. Sur le socle figurent les six ducs ses prédécesseurs.
Après sa victoire à Marignan, le roi, l'épée à la main, est calme et souriant, cependant que son cheval foule aux pieds un Suisse expirant et un Castillan qui essaie encore de le frapper au poitrail.
Statue installée dans un village proche de Grenoble, à l'endroit même où un empereur, échappé de l'île où on l'avait exilé, s'avança fièrement, poitrine découverte, au devant des troupes royales envoyées pour l'arrêter.
Statue d'une héroïne nationale, représentée en armure et brandissant son étendard au-dessus de sa tête. Il existe onze exemplaires de cette célèbre statue : sept sont en France, trois en Amérique, une en Australie.
La statue du chef gaulois, héros de la liberté, se dresse à quelques kilomètres du plateau de Gergovie, où il remporta une célèbre victoire ; son cheval, dont aucun sabot ne touche le sol, saute au-dessus d'un ennemi romain tombé dans le combat.
Paris (Cours la Reine, entre le Grand Palais et la Seine)
Particularités
Statue de bronze du "Héros des deux mondes" brandissant à la verticale une épée dans sa main droite. Œuvre d'un sculpteur américain, c'est un don fait à la France, pour la remercier de la statue de la Liberté, de Bartholdi.
Statue d'un noble breton, surnommé "le Dogue noir de Brocéliande", fait Connétable de France par Charles V. On note le mouvement violent du cheval lancé au galop, renforcé par la torsion de la tête, et la tension du cavalier tirant son épée du fourreau.
Statue du généralissime des troupes alliées en 1918, artisan de la victoire. Il assista à l'inauguration du monument dans la petite ville des Flandres où il avait souvent résidé, et fut content que le sculpteur ne lui ait pas donné une attitude théâtrale.