Surnom donné au plus grand artiste (avec Chaplin) du cinéma muet mondial : populaire et inventif, il jouait les gags les plus désopilants en gardant un faciès rigoureusement impassible.
Ce surnom d'un musicien de jazz est la contraction d'un nom composé américain signifiant "bouche-besace", ce qui fait référence au visage rond, joues gonflées et lèvres puissantes, du génial trompettiste jouant de son instrument.
Ce surnom qui reste collé à la peau d'un immense acteur est le titre du film de Jean Grémillon (1937), dans lequel il incarnait un séduisant personnage au destin tragique.
Un adjectif devenu le surnom d'une actrice : il figurait dans le titre du film de 1928, où elle incarnait Sarah Bernhardt, et il s'accordait avec sa beauté et son caractère énigmatique, un peu distant, qui faisaient d'elle une déesse des salles obscures.
Ce surnom, que s'attribua lui-même un futur réalisateur de westerns, est simplement le nom de l'énorme chien dont, dans son adolescence déjà, il ne se séparait jamais.
Surnom d'un auteur-compositeur-interprète, dont la jeunesse, la joie de vivre, la fougue communicative enflammaient le public, et qui livrait des textes poétiques ou drôles, servis par des rythmes syncopés d'une grande originalité dans les années 30.
Surnom donné, en même temps qu'un pseudonyme, par Louis Leplée à une chanteuse de rue qu'il engagea, en 1935, dans son cabaret des Champs-Élysées : il avait été frappé par la frêle silhouette de la jeune femme, un moineau au chant ensorceleur.
Surnom donné à un chanteur américain pour ses qualités vocales exceptionnelles, sa parfaite diction et la profondeur de son timbre. Il chantera jusqu'à l'âge de 78 ans ses grands succès comme "Strangers in the Night", "My Way".
Surnom de la plus célèbre cantatrice du XXe siècle, dont la voix de soprano colorature fascine tous les amoureux d'opéra, et que Leonard Bernstein appelle la Bible de l'opéra, tant elle représente pour lui une insurpassable référence.
Surnom du chanteur-compositeur vêtu d'un éternel costume bleu et d'une cravate à pois, qui électrisait littéralement le public par la débauche d'énergie qu'il déployait sur scène.
Surnom dont hérita le compositeur de "On ira tous au paradis" à partir de 1996, année de lancement de son site internet sur lequel il apparaît aux commandes d'un étrange vaisseau.
Surnom qui rapproche cet artiste, figure emblématique de la musique pop dans les années 1980, du jeune faon des films de Disney : comme lui l'artiste semblait refuser de grandir, de sortir de l'enfance.