Ville méditerranéenne ainsi surnommée depuis la découverte, en 1964, dans le lit de l'Hérault, face à la cathédrale Saint-Étienne, d'une statue antique en bronze rappelant le style du sculpteur Lysippe, et qui pourrait représenter Alexandre le Grand.
Ville qui doit son surnom à la couleur des briques utilisées pour la construction de son centre historique, et notamment de la cathédrale Sainte-Cécile.
Ville qui doit son surnom (qui est aussi celui de Rouen, sa voisine) au grand nombre d'édifices religieux qui s'y trouvent, parmi lesquels les deux célèbres abbayes dites "abbaye aux Hommes" et "abbaye aux Dames".
Le surnom de cette ville fait référence à la fête populaire qui accompagne en juillet la procession de la famille Gayant : le père, solide gaillard en osier (8,50 m et 370 kg), sa femme Marie (6,25 m et 250 kg) et leurs enfants Jacquot, Fillon et Binbin.
Un monument, conçu comme une ouverture donnant accès à la mer, a donné son surnom à cette ville normande : c'est l'ensemble dominé par deux tours jumelles de 13 étages, construit après la guerre, selon les plans d'Auguste Perret.
Ville qui doit son surnom à la somptuosité de son château : un ci-devant roi polonais en exil habita et fit réaménager à son goût cette demeure, qui pouvait rivaliser avec celle qu'occupait alors son gendre, le roi de France Louis XV.
Située en bordure de l'étang de Berre, cette ville doit son surnom aux canaux qui la traversent, sur lesquels se déroulent de fameuses joutes annuelles. Ce surnom est le titre d'une chanson très populaire créée par Alibert.
Ville que son ancien maire Georges Frêche dota de ce surnom flatteur, en raison de son patrimoine culturel, de son dynamisme économique, de son attractivité, de son cadre de vie et de la qualité de ses universités.
Les créatures citées dans le surnom de cette ville et de sa superbe baie ne sont pas des habitants célestes, mais des poissons, sorte de requins inoffensifs que les pêcheurs ramènent souvent dans leurs filets, et dont les ailerons ressemblent à des ailes.
Ville ainsi surnommée depuis le XVIIe siècle, parce qu'elle fut la première au monde à bénéficier d'un éclairage public : le lieutenant de police La Reynie fit alors disposer des milliers de flambeaux dans les rues et sur les façades.
Ville natale de nombreux navigateurs, tels Robert Surcouf et René Duguay-Trouin, qui recevaient du gouvernement l'autorisation de pratiquer la "guerre de course" contre les navires marchands de l'ennemi.