Député-maire de Belfort, candidat souverainiste, il fut considéré comme le « troisième homme » au début de la campagne électorale. Il finit en
sixième position.
Son parti vit une déroute historique en êtant même dépassé par deux candidatures d'extrême gauche et devra lancer une souscription pour
rembourser sa campagne.
Chef du gouvernement en place, il termine à la surprise générale à la troisième place du premier tour. Il annonce le soir même son retrait de la vie politique.
Il provoqua un séisme dans la vie politique française en se qualifiant pour le second tour mais, face à un front républicain, il n'obtiendra que 17,79 % des suffrages exprimés.