Mat qui tire son nom du fait qu'il a été décrit pour la première fois dans un manuscrit du VIIIe siècle. Il se fait avec une tour et un cavalier alors que le roi adverse est dans un coin de l'échiquier.
Ce mat tire son nom du personnage d'un roman de Wilhelm Heinse, dans lequel il est décrit. Il se fait avec un cavalier qui bloque la sortie du roi et avec une tour qui vient faire le mat sur la rangée (ou la colonne) occupée par le roi.
Ce mat se fait avec les deux tours (ou une tour et la dame) en obligeant le roi à reculer - comme s'il descendait des marches - jusqu'à la dernière rangée. Une tour (ou la dame) vient y donner le mat tandis que l'autre contrôle l'avant-dernière rangée.
Mat tirant son nom d'un joueur anglais qui l'a réalisé pour la première fois dans une partie à Londres en 1853. Il se fait avec les deux fous. Le premier contrôle les cases de sortie du roi, le second utilise la diagonale ouverte pour donner le mat.
Ce mat tire son nom du lieu où fut jouée la partie qui opposa en 1858, le grand maître Morphy au duc de Brunswick. Il se réalise avec une tour soutenue par un fou.
Ce mat tire son nom de la position du roi, qui est encadré par ses deux tours. Il est réalisé par la dame adverse qui se place sur la case située en face du roi sur la troisième rangée (en partant de la rangée du roi).
Mat donné par une tour ou la dame alors que le roi adverse est isolé sur la dernière rangée et que ses propres pions l'empêchent de passer sur la rangée suivante.